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Maasai Dance

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MAASAI DANCE
The Maasai traditional dance is unique among the African dances.
One can compare the body movement to a wave where it evolve in turn: the neck, the shoulders, the chest and the back bottom.
The gestural is rather sober, the arms remain close to the body and the legs budge in vertical jumps: the energy is channeled.
The Maasai people draws in dance and songs the forces to confront the nature.
Traditionally there is no instruments: Voice, the feet and the jewels rhythmically regulate the dance.
The Maasaï warrior shows his enthusiasm inside a human circle where each one comes to jump as high as possible.
The more they sing and dance, the more the songs thrust the warriors in a state of trance.
From that time, the MORANS are ready to confront their initiation in the savannah and ready also to fight against the lion eater of cows.
Very bashful, the Maasai uses also dances and the song to choose his wife.
While the circle of the female dancers crosses the circle of the male dancers, a brief blow of head, throw their long hair on the shoulder of the selected girl.
The whole village that attended the ceremony knows then the future wife.
The Maasai culture is a daily reality.
The collective memory is oral: – Imagine a book open on the savanne where the text would be the song, the image would be the dance.

La danse traditionnelle Maasai est unique parmi les danses Africaines. On peut comparer le mouvement du corps à une vague où évoluent tour à tour : le cou, les épaules, la poitrine et le bas du dos. La gestuelle est assez sobre, les bras restent près du corps et les jambes bougent en des sauts verticaux : l’énergie est canalisée. Le peuple Maasai puise dans la danse et le chant la force d’affronter la nature.
Traditionnellement il n’y a pas d’instruments : La voix, les pieds et les bijoux rythment la danse.
Le guerrier Maasaï démontre sa fougue à l’intérieur d’un cercle humain où chacun vient sauter le plus haut possible. Les chants de plus en plus rythmés plongent les guerriers dans un état de transe. Dès lors, les MORANS sont prêts à affronter leur initiation de quelques mois en savane et prêts aussi à lutter contre le lion mangeur de vaches. Très pudique, le Maasai utilise aussi la danse et le chant pour choisir sa femme. Tandis que le cercle des danseuses croise le cercle des danseurs, ceux-ci, d’un bref coup de tête, jettent leurs longs cheveux sur l’épaule de l’élue. Tout le village qui assiste à la cérémonie connaît alors les futurs mariés. La culture Maasaï est une réalité quotidienne. La mémoire collective est orale: -Imaginez une livre ouvert sur la savanne où le texte serait le chant, l’image serait la danse.